A l’occasion de la Journée nationale de la qualité de l’air, le 18 septembre 2019, EpaMarne-EpaFrance mettent en lumière leur engagement pour construire une ville où il fait bon respirer.

Dans un contexte de changement climatique mondial, la responsabilité locale d’un aménageur est prépondérante. EpaMarne-EpaFrance, conscients de leur impact sur la vie des citoyens et des milieux urbains, expérimentent de nouvelles façons de concevoir la ville pour augmenter les effets positifs sur le climat, et réduire le plus possible ceux qui peuvent s’avérer négatifs. Dans cette démarche, la santé – sur laquelle la qualité de l’air influe fortement – est devenue une des priorités des EPA.

 

En tout premier lieu, les EPA apportent une grande attention aux espaces naturels et aquatiques, dont le rôle est central sur la biodiversité et la santé : 8 000 hectares de nature (20 % du territoire) et 58 plans d’eau, dont la chaîne des lacs, jalonnent Marne-la-Vallée, comme autant d’espaces de respiration.

 

Côté mobilité, les EPA travaillent avec l’ensemble des parties-prenantes pour développer des alternatives décarbonées. Le territoire compte plus de 200 points de recharge pour véhicules électriques et plateformes d’autopartage. Un vaste réseau de pistes cyclables maille également l’est parisien. Investissements pour le stationnement, renforcement du réseau cyclable et résorption des coupures urbaines permettent de réduire l’impact des transports sur l’air et le climat.

 

Sur le plan de la construction, la politique « bois » menée par les EPA depuis plusieurs années constitue une réponse forte et concrète à la qualité de l’air, tant extérieure qu’intérieure. En 5 ans, les EPA ont lancé la construction de 4 600 logements en bois. Ils développent en parallèle d’autres alternatives avec des expérimentations d’éco-matériaux tels que la paille, le béton de chanvre ou encore la terre crue.

 

Enfin, la conception des bâtiments est capitale pour une bonne qualité de l’air intérieur : la forme architecturale, les systèmes de ventilation, les performances énergétiques… sont autant de leviers sur lesquels l’aménageur peut agir au travers de ses prescriptions auprès des promoteurs immobilier.

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